10/11/13
Aujourd'hui nous nous rapprochons
un peu plus de Kadomba puisque nous allons à Bobo Dioulasso, où une maison a
été louée pour la période du chantier. Nous rejoignons la gare routière de Ouagadougou
à pieds. Un malaise nait en observant l’absence
de gestion des déchets ménagers qui occupent le paysage urbain. Sous la chaleur
nous arrivons à la gare, où de nombreuses personnes attendent le car. Après un long échange d’Eric avec les
responsables des réservations, nos bagages sont empilés sur un chariot et
rangés en soute.
Nous voici dans le car à
destination de Bobo. Nous découvrons le paysage burkinabè par la fenêtre:
en ville, l’activité fourmille, les « bouibouis » défilent le
long de la route, nous croisons une flopée d’écoliers à vélo : ici les
véhicules à 2 roues sont les plus fréquents.
Puis nous entrons dans la savane. La terre est rouge, les herbes sauvages jaillissent autour des karités et eucalyptus. Nous apercevons régulièrement des plans d’eau. Au frais sous l’air climatisé, nous découvrons cet écosystème tropical.
Puis nous entrons dans la savane. La terre est rouge, les herbes sauvages jaillissent autour des karités et eucalyptus. Nous apercevons régulièrement des plans d’eau. Au frais sous l’air climatisé, nous découvrons cet écosystème tropical.
Après deux heures de route,
première pause : pipi.
Nous remontons sans difficulté dans ce car tout confort qui nous mène vers la permaculture.
Nous remontons sans difficulté dans ce car tout confort qui nous mène vers la permaculture.
La faim qui tiraille touche à sa
fin : le car s’arrête dans une rue commerçante. Des femmes affluent
lorsque la porte s’ouvre, portant sur leur tête fruits, galettes de sésame,
cacahuètes grillées.
Marché fait, nous redémarrons. Deuxième halte en-cas, puis 2 heures plus tard, nous apercevons le panneau de Bobo Dioulasso. Ça y est, nous sommes arrivés. Nous récupérons nos sacs et nous dirigeons sans tarder vers les taxis. Les bagages sont serrés dans le coffre, nous voyons bien qu’il ne fermera pas. Bassitara (pas de problème en dioula), nous irons jusqu’à la maison coffre ouvert !
Marché fait, nous redémarrons. Deuxième halte en-cas, puis 2 heures plus tard, nous apercevons le panneau de Bobo Dioulasso. Ça y est, nous sommes arrivés. Nous récupérons nos sacs et nous dirigeons sans tarder vers les taxis. Les bagages sont serrés dans le coffre, nous voyons bien qu’il ne fermera pas. Bassitara (pas de problème en dioula), nous irons jusqu’à la maison coffre ouvert !
Nous traversons la ville en direction du secteur 17. Une fois les ronds points de l’Indépendance et de la culture franchis, nous empruntons un chemin de terre, ça cahote et la prudence est de mise pour ne pas racler le pare choc dans les énormes culs de poule. Puis nous arrivons. Nous posons rapidement les sacs et filons manger dans un resto du coin : le campagnard. Un singe nous y souhaite la bienvenue. Au repas : bananes plantain (alocco), soupe de poisson, brochette de bœuf. Nous repartons repus vers la maison. Le soir se passe tranquillement . Les moustiquaires installées, nous pouvons nous reposer après une journée bien mouvementée
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